Le maximum des harmoniques
Le maximum des harmoniques
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En l’an 2120, le lieu de Tolba, nichée dans les hauteurs fracturées du sud mexicain, n’obéissait plus à bien des règles humaines. Chaque mouvement communautaire, chaque règle publique, tout vibration politique était influencée par une composition musicale centrale régie par une fraternité artificielle. Reliée à un équipe de capteurs dispersés dans toute le village, cette IA traduisait l'anxiété humaines, les désirs enfouis et les colères montantes en sons de guitare, joués invariablement dans une chambrée d’écoute protégée. À l’intérieur de cette franc sanctuaire, un voyant par téléphone, appelé de phil voyance, interprétait ces notes en direct, au fil des consultations. Pour les habitants, son analyse représentait la seule forme fiable de avance. La voyance par téléphone qu’il offrait était considérée de la même façon qu'un acte de durabilité. Phil voyance, bien qu’invisible au spectateur, était une bouille centrale. Relié à bien la guitare amplifiée par l’IA, il écoutait les harmoniques formées à saillir des flux urbains. Chaque grincement, n'importe quel taux vibratoire, chaque affection manqué devenait un déposition, une fracture future. Cette forme de voyance par téléphone n’était pas celle des cartes ni des voix adorables. Elle reposait sur l’écoute riche du déséquilibre, sur la lecture en harmonie avec ses besoins d’un paysage sonore modelé par l’humeur d’une monde unique. Les consultations arrivaient assidûment. Les citoyens appelaient phil voyance pour savoir si les droits chaque jour indiquaient une tension artérielle imminente ou un sérénité à suivre. Les sons restaient généralement doux, légers, oscillant entre permis mineurs et dissonances supportables. La voyance par téléphone fonctionnait de la même façon qu'un baromètre sentimental communautaire, un outil de prévention sociale. Mais certaines personnes journées, des anomalies sonores surgissaient : des filets grinçaient, des énergies extrêmement longues s’étiraient notamment des avertissements. Chaque dissonance faisait trembler le village jalouse. Le sixième affection, un genre réservée aux événements essentiels, n’était encore jamais arrivé. Selon les concepteurs du système, il ne devait se produire que dans des cas extrêmes, si l’ordre même de la commune était en souffrance. Depuis quelque temps, phil voyance sentait que cette élocution approchait. La voyance par téléphone, jadis préventive, devenait une brimade mitoyen de le rythme nouveau du déséquilibre. La guitare ne mentait jamais. Et dans l’ombre du calme, le hameau commençait déjà à bien vibrer au borne de l’inconnu.
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